Rédigé à 09:41 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Les tarifs bancaires c'est non seulement un peu comme la boîte de chocolat de Forrest Gump, on ne sait jamais sur lequel on va tomber, mais en plus les banques passent leur temps à les augmenter !
Rien que l'année dernière, ils ont grossi de +4,17%, pour les petits clients. Parce que selon que vous serez petit, moyen ou gros client, vous serez assujettis à des tarifs et des hausses de tarifs différents.
Et comme un malheur n'arrive jamais seul, désormais mêmes celles qui n'en facturaient pas, finissent par prélever des frais de tenue de compte. Auri sacra fames ! comme disait Virgile :-)
L'association de consommateurs CLCV a publié une étude dans laquelle elle a analysé 139 banques : 117 en facturent depuis le 1er février. Il y a encore un an, elles étaient seulement 104.
Elles sont 37 à avoir augmenté leurs tarifs dans la foulée. Et ce n'est qu'un début : LCL et Groupama Banque factureront 8,80 euros par an à partir du 1er mars, par exemple, pour tenue de compte.
Autre source d'inégalité, les tarifs sont ce qu'on peut qualifier de variables. Doux euphémisme... la moins chère à 6,20 euros par an est la Banque Postale, et la plus coûteuse à 71,60 euros pour les banques Maze et Dupuy de Parseval. Pour des services équivalents, y compris les paiements en ligne.
Et autre mauvaise nouvelle, si pendant un temps une association d'usagers des banques avait fait courir la rumeur qu'il était possible de refuser ces tarifs, c'était une erreur : le seul choix restant pour qui refuse ces hausses de tarifs est de changer de banque ! Alors cette fois autant ne pas se tromper.
Ces hausses de frais et de certains services, comme le prix des cartes de crédit par exemple, pénalisent plus spécifiquement les petits consommateurs de services bancaires, estime encore l'étude de la CLCV.
Forte de données complètes et comparatives sur toutes ces banques, l'association arrive à la conclusion que la facture moyenne annuelle a augmenté au minimum de +4,17%, et jusqu'à +5,47% pour les banques s'appuyant sur un réseau physique ... alors que l'inflation a été quasi nulle en 2015. Ces hausses ne s'appliquent qu'aux petits clients, bien sûr.
Par contre, pour les moyens et gros clients, la facture moyenne baisse. Pas énormément, mais elle baisse, respectivement de -0,17% et à -0,09%.
Sauf chez les banques en ligne, qui, si elles restent compétitives, traitent leurs clients avec égalité, en augmentant tout le monde !
Pour finir, l'association met en lumière une autre source d'inégalité, la géographie.
L'association CLCV a noté d'importantes différences tarifaires au niveau des départements. Les petits clients de la Meuse paieront le moins en France, alors que les petits clients des Pyrénées-Orientales paieront le plus, trois fois plus. Pour ce qui est des gros clients, il vaut mieux avoir son compte dans les Côtes d'Armor, département le moins cher de France, mais surtout pas dans l'Hérault où ils paient le plus cher. Pourquoi ? Mystère et opacité. Sans doute parce que les banques sont des fans d'Alphonse Allais dont on se souvient qu'il prétendait : “ Il faut prendre l'argent là où il se trouve, c'est-à-dire chez les pauvres. Bon d'accord, ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres.”
Je rappelle que chez BluePaid, expert du paiement en ligne sécurisé, nos tarifs n'ont pas augmenté depuis 7 ans, quelle que soit la zone géographique !
Voilà ! :-)
Rédigé à 08:51 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Puisque le temps est encore vœux, les équipes de BluePaid se joignent à moi pour vous souhaiter une excellente année 2016 qui saura effacer de nos mémoires les séquelles laissés par 2015 ! Une année de réussite professionnelle et personnelle dans un juste équilibre valorisant pour vous, vos proches et vos collaborateurs. Une année d'innovations, dans vos campagnes marketing, la fidélisation de vos clients, les items que vous vendrez ou les moyens de les livrer. Le tout animé d'une curiosité insatiable qui vous poussera à explorer toujours plus loin les enjeux qui se présenteront à vous pour les convertir en outils de progression de votre activité.
Chez BluePaid nous répondrons présents pour vous accompagner dans votre progression en vous proposant tout au long de l'année de nouvelles opportunités qui faciliteront le focus sur votre cœur de métier et la vie de vos clients.
Encore une Bonne Année à toutes et tous ! Rendez-vous avec les équipes BluePaid pour des innovations toujours plus utiles et de nouveaux partenariats tout au long des douze prochains moins sur la route de la progression de votre chiffre d'affaires !
Rédigé à 17:45 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Il ne se passe pas une semaine sans qu’on nous annonce de nouveaux progrès, de nouvelles recherches et de nouveaux développements dans la sécurisation des transactions, en ligne ou mobile.
Cette fois, le vent de l’innovation viendrait d’Allemagne et s’intéresserait au paiement mobile.
On n’arrête pas le progrès : La Deutsche Bank voudrait supprimer les mots de passe pour les paiements mobiles !
Elle travaille en effet avec Callsign, une entreprise spécialisée dans le domaine, sur une solution d’authentification dont la formule secrète est d’analyser l’utilisation spécifique du smartphone par son propriétaire.
En clair, plus de code pin à 4 chiffres pour vous servir de votre smartphone, mais un nouveau système anti-fraude intégrant la manière dont vous vous en servez pour déterminer si c’est bien vous qui êtes en train de vous en servir pour payer ou réaliser une transaction.
La force de l’habitude et du train-train dans la façon de faire les chose paierait enfin ? :-)
On dirait bien. Attention aux changements, le programme crée une image comportementale qui prend en compte une cinquantaine de facteurs. De la force avec laquelle vous appuyez sur certains boutons à la façon dont vous tenez ou positionnez votre smartphone, en passant par la géolocalisation, la reconnaissance faciale, digitale, etc.
Les résultats des premiers tests seraient plus qu’encourageants selon la Banque. En effet, personne n’est arrivé à obtenir plus de 15 % de concordance en essayant de pirater le smartphone d’un autre employé. Faut dire que si le programme utilise la reconnaissance facile et digitale, rien que ça, est un obstacle de taille !
Si cette technologie s’avère efficace et sûre, elle permettrait enfin de lever les derniers freins aux paiements mobiles, qui pourraient enfin décoller vraiment !
Et ça, tout le monde est d’accord pour dire que ce serait un vrai progrès !
Et en France, où en sommes-nous ?
Inutile de vous dire que nous en sommes très loin… La priorité s’oriente toujours vers un système d’authentification renforcée indépendante du commerçant, comme le 3D-Secure par exemple. Pour ceux qui auraient passé ces dernières années dans une grotte, le 3D-Secure, c’est l’envoi d’un SMS avec un code à 4 chiffres qui finalise la transaction sur le site où se réalise l’achat.
Petite parenthèse sur le 3D Secure, si le système reste largement perfectible, il s'est bien amélioré et depuis que nous l'avons mis en place chez Bluepaid en 2012, le taux de refus s'est considérablement amélioré pour être ramené à 12 % au lieu des 30 % initialement.
Si l’on en croit le dernier rapport de la Banque de France via l’Observatoire de la sécurité des cartes de paiement, le système demanderait révision… le taux de fraude des paiements mobiles est en effet 20 fois supérieur au taux des fraudes à la carte bancaire présentée directement chez le commerçant.
Comme toujours, chaque banque bidouille de son côté sa propre solution d’authentification renforcée en attendant la date limite pour présenter un choix définitif au GIE Cartes Bancaires. Ce sera dans un an, le 1er janvier 2017. Ça approche doucement.
La Société Générale, le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne, et BNP Paribas sont plutôt orientés vers le cryptogramme dynamique. Souvenez-vous, je vous en parlais le mois dernier.
Le Crédit Mutuel Arkéa a évidemment choisi une autre solution, sinon ce serait trop simple : un système un peu archaïque appelé Virtualis. Le système crée un numéro de carte bancaire à usage unique, différent pour chaque transaction, limité au montant de l’achat et pour un temps limité. Pas très souple.
Par contre, le Crédit Agricole, le LCL et la Banque Postale s’orientent plutôt vers, c'est le cas de le dire, une autre voie/voix, avec l’authentification renforcée … par la voix. Le système, dont je ne vous ai pas encore parlé ici, se nomme, c’est une Lapalissade, le « Talk To Pay », « Parle pour Payer » .
Très logiquement, lorsque vous vous trouvez sur une page de paiement, une extension de votre navigateur déclenche un appel automatisé permettant de vous identifier à la voix via votre mobile puis de générer un cryptogramme.
Je ne sais pas pour vous, mais vu d’ici et avant test, le système de CallSign me semble le plus simple, le moins contraignant et il me plait assez.
En attendant le 1er janvier 2017, encore un an ou plus qu’un an, selon le côté de la barrière où vous vous trouvez, j’a bien peur que le 3D-Secure ait encore de beaux jours et de beaux bugs devant lui …
Bon courage à toutes et à tous pour le rush des fêtes de fin d’année qui approchent à grand pas !
Rédigé à 20:46 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Les lecteurs, non pas de carte bancaire, mais les lecteurs de ce blog, le savent, j'ai une curiosité naturelle pour les questions de sécurité, et en particulier pour tout ce qui concerne le paiement et sa sécurisation.
La sécurisation des transactions passe par trois points capitaux. Le service de paiement en ligne, le e-commerçant qui vend un produit, et au centre, le client, qui utilise un moyen de paiement, le plus souvent une carte bancaire. Les deux tiers des fraudes à la carte bancaire touchent les transactions faites sur internet.
Et là, je dois dire que je suis servi. Ce matin je viens d'apprendre qu'un nouveau modèle de carte bancaire "anti fraude en ligne" va être testé : une carte embarque au dos un mini-écran digital plat dont le cryptogramme à 3 chiffres change régulièrement. Bon sang mais c'est bien sûr et une évidence ... avec un cryptogramme dynamique, ça va devenir très compliqué d'utiliser la carte à l'insu de son propriétaire pour des achats en ligne !
Le fonctionnement de la carte reste exactement le même, sauf pour le cryptogramme CVV qui peut changer de façon aléatoire entre toutes les 30 secondes et 15 minutes.
Mais revenons à notre carte du jour. Et si l'écran tombe en panne ? Ce mini-écran plat en noir et blanc qui affiche le code dynamique est alimenté par une pile pouvant durer 3 ans, soit une autonomie largement supérieure à la durée de vie moyenne de deux ans d'une carte bancaire. Mais les tests sont fait pour ça : savoir si l'objet sera utilisable et fiable en conditions réelles.
Cette carte bancaire à écran digital est actuellement en test auprès d'un millier de clients. Peut-être cette fois-ci finira-t-elle par s'imposer...
Rédigé à 07:52 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
C'est le titre d'un excellent article publié par Le Monde il y a quelques jours et qui fait le point et un tour d'horizon sur le secteur.
La semaine dernière se tenait à Paris le Salon du e-commerce (celui là même que certains appellent pompeusement le Paris retail Week...) et c'est que l'on prend toute la mesure de la diversité des offreset de la grande bataille qui se joue dans le paiement en ligne.
Des fabricants de terminaux comme Apple ou Samsung, des pure-players comme Amazon, des petits, des gros et bien sûr des banquiers comme Visa, des français, des européens, des mondiaux, ils sont tous là, à guetter l'émergence de nouveaux canaux de paiement et inventer pour les clients des choix de paiements sûrs et rapides pour payer leurs achats, et pour les commerçants de récupérer leur argent.
Petit tour d'horizon des dernières nouvelles du secteur : Apple va lancer un service de paiement en Chine. Square essaie de simplifier le paiement en ligne. Visa lance Visa CheckOut et abandonne V.me. Et même rentabiliweb se recentre sur le paiement en ligne, en profite pour changer de nom en devenant Dalenys et se lance à l'assaut des banques traditionnelles.
Le secteur avance vite, l'innovation est au détour de la première page web venue, et c'est sans compter les nombreux acteurs qui comme BluePaid permettent de proposer des solutions simples et efficaces pour le confort des clients de e-commerçants qui cherchent un moyen sécurisé, rapide et efficace de facturer et récupérer le produit de leurs ventes.
C'est dans cet esprit que le secteur se professionnalise et acquiert une maturité avec l'élaboration d'une charte des bonnes pratiques visant à empêcher l’usage de moyens de paiement dématérialisés aux sites qui violent le droit d’auteur. Beaucoup d'acteurs, et un grand ménage pour nettoyer le secteur !
Parmi les participants figurent l’AFMM (Association Française du Multimédia Mobile), la FBF (Fédération Bancaire Française), le GESTE (Groupement des Éditeurs de Services en Ligne), GIE cartes bancaires, MasterCard, PayPal et Visa Europe qui représentent les acteurs du paiement en ligne. Il faut également compter sur l’ADAGP (Société des Auteurs dans les Arts graphiques et Plastiques), l’ALPA (Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle), le SNE (Syndicat National de l’Edition), le SELL (Syndicat des Éditeurs des Logiciels de Loisirs), le SNJV (Syndicat National du Jeu Vidéo), la SACEM, la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) et la SPPF (Société des Producteurs de Phonogrammes), qui représentent les ayant-droits.
On aimerait que tout ce beau monde garde bien le contact pour mieux travailler main dans la main quand il s'agira de mettre en place de nouveaux standards pour tous, par exemple ...
Rédigé à 16:36 dans A mon humble avis | Lien permanent | Commentaires (0)
Même dans le paiement en ligne, secteur sérieux s'il en est, à force de vouloir trop innover, ça finit par ressembler parfois à n'importe quoi.
Je viens d'apprendre que MasterCard va tester le remplacement de la traditionnelle validation par code sms... par des selfies !
Ce n'est pas une blague ! Au lieu de recevoir un code par sms, vous enverrez des selfies...
J'en plaisante d'autant plus, qu'en 2007, c'est une idée que j'avais émise dans le cadre des réflexions de Bluepaid sur la sécurisation des transactions via mobiles. Donc oui en soi, c'est une bonne idée de s'assurer de l'identité de la personne derrière l'écran de mobile, mais on peut tout de même en rire, non ?
Donc, dès cet automne, MasterCard testera auprès de 500 clients une application dédiée à la validation de transactions par carte bancaire. L'application s'active comme un pop-up lorsque la carte associée sollicite la validation d'un paiement. L'utilisateur peut alors confirmer son identité soit via une empreinte digitale (sous réserve que le téléphone soit capable de ça), soit par un selfie, qui permettra de valider le paiement. Et je lis - je vous le livre brut : Un clignement des yeux sera par ailleurs requis pour écarter tout soupçon de triche via l'utilisation d'une photo. Pourvu que Siri n'imagine pas que vous lui faites de l'oeil !
La validation sera alors convertie par un algorithme en code binaire avant d'être transmise aux serveurs dédiés au service. Déjà qu'avec le 3DSécure, bref, ce n'est pas le sujet...
Bien sûr, MasterCard assure que la connexion sera protégée... mais qui sécurisera la plateforme qui recevra les photos chargées de sécuriser les transactions ? ;-)
J'attends quand même avec impatience quelle solution concurrente va bien pouvoir sortir Visa de derrière les fagots... On vit une époque formidable !
Rédigé à 17:41 dans On aura tout vu | Lien permanent | Commentaires (0)
Oui, c'est un peu paradoxal, mais avec le retour de l'été, la période des soldes qui s'achèvent et les vacances qui approchent, l'envie de rebloguer me revient !
Je ne suis pas sûr d'être assidu, mais après tout, rien, ni personne, ne m'oblige, je vais néanmoins essayer de reprendre quelques exercices d'écriture sur l'actualité de notre secteur du paiement en ligne, en passant, bien sûr par le e-commerce et tous les autres sujets qui me passionnent et ne sont pas obligatoirement au cœur de nos métiers.
Mais pour recommencer du bon pied, voici quelques chiffres relatifs aux soldes d'été qui s'achèvent.
Les soldes se terminant mardi soir après les 5 semaines réglementaires, on devrait apprendre sans surprise que le bilan est très mitigé - sauf pour les ventes sur Internet.
3 semaines après le début des soldes, l'Institut Français de la mode s'alarmait déjà d'un recul global de 3% des recettes. Idem chez Didier Simon de Bessac, président de la Fédération des enseignes de l'habillement (FEH) «Après -10% sur les cinq premiers jours, la chaleur a probablement aidé à redresser un peu la barre, mais sans pour autant permettre un retour à une tendance positive» déplore-t-il.
Même son de cloche chez Daniel Wertel de la Fédération du prêt-à-porter féminin : «Pour nos marques, les soldes ont marché très moyennement et le bilan risque d'être négatif de plusieurs points».
Il faut dire que les soldes sont de en plus plus une promotion de plus dans une succession qui se déroule tout au long de l'année. D'ailleurs, on assiste de plus en plus aux traditionnelles ventes privées dans les semaines qui précédent l'ouverture officielle des soldes. Le bilan de ces ventes n'est pas comptabilisé dans celui des soldes et, comme en plus ces ventes concernent des achats qui ne sont pas ensuite reproduits, le bilan n'est peut-être pas aussi négatif qu'il semble... Du moins faut-il l'espérer.
En ce qui concerne les ventes sur Internet, elles terminent encore une fois en positif avec, cette année, une hausse des ventes certes inférieure aux 11% de l'an passé, mais d'environ +6% quand même, dixit la Fevad - Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance. Pas si mal !
Il faudra sans doute patienter quelques semaines pour avoir des résultats plus complets, mais d'ores et déjà, si j'en crois les chiffres des transactions réalisées via notre plateforme BluePaid, ces tendances et chiffrent se confirment, et au-delà : cette année, Bluepaid a atteint un sommet historique durant ces soldes d'été. En flux et en chiffre d'affaires.
A suivre très bientôt !
Rédigé à 10:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nous voici fin janvier, ce qui est à la fois la date limite conventionnelle pour présenter ses bons voeux pour une belle nouvelle année - recevez les miens auxquels s'associe toute l'équipe de BluePaid, et la saison annuelle des bilans de l'année écoulée.
La Fevad a publié cette semaine celui de l'e-commerce en France et pour 2014.
7 repères dont il faut tenir compte pour réussir votre année 2015 :
Les perspectives pour 2015 ?
D'après la Fevad, les ventes sur internet devraient encore connaître une progression de l’ordre de 10% cette année, ce qui devrait permettre au e-commerce français de franchir la barre des 60 milliards d'euros de chiffre d'affaires, malgré une baisse du panier moyen qui devrait se poursuivre en 2015. Il est donc plus que jamais temps de conquérir de nouveaux clients, de fidéliser les anciens, d'être attractif sur les prix et plus encore sur la qualité de servir. C'est tout ce que je vous souhaite pour cette année 2015, avec la persévérance et la passion pour le mettre en oeuvre et profiter des résultats !
Rédigé à 10:54 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Les chiffres proviennent de la Fevad et annoncent que les ventes en ligne ont atteint 13,5 milliards d'euros au troisième trimestre 2014, soit encore une progression à deux chiffres avec 11%.
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Rédigé à 07:29 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)